Paru dans la presse :
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Vendredi 30 janvier 2015
paru le 26/02015
Les Sti2d en partenariat avec une socièté de fabrication de recycleur sous-marin
publié dans VAR MATIN Lundi 20 mai 2013 : Janetti se met à l'heure Européenne
publié dans VAR MATIN Samedi 18 mai 2013 : Graine d'écrivain à Saint Maximin
publié dans VAR MATIN Vendredi 3 mai 2013 : Bientôt le tapis rouge au festival du film hispanique
publié dans VAR MATIN DIMANCHE 28 avrill 2013 :Les élèves du lycée JANETTI s'investissent dans le Cinéma HISPANIQUE
publié dans VAR MATIN Mardi 17 avrill 2013 : L'escalade au Lycée JANETTI; une tradition
publié dans VAR MATIN Jeudi 4 avril 2013 : La créativité au Lycée JANETTI
publié dans VAR MATIN Vendredi 29 mars 2013 : Les élèves du Lycée JANETTI sur les PODIUMS
CHAMPION DU VAR ESCALADE
VICE-CHAMPION EN VTT
publié dans VAR MATIN Jeudi 28 mars 2013 : Le Lycée JANETTI parmi les lycées en hausse
publié dans VAR MATIN Lundi 25 mars 2013 : Semaine de l'industrie bien remplie à JANETTI
publié dans VAR MATIN mercredi 27 Février 2013 : Le Lycée Maurice Janetti et l'art du Cirque
paru le 22 mars : rencontre des 1ère bac Pro avec l'auteur de BD Pierre Maurel, à la médiathèque de St Maximin.
publié dans VAR MATIN mercredi 6 février 2013: Janetti artistique et Scientifique aussi
publié dans VAR MATIN mercredi 28 novembre 2012 : Le Lycée Maurice JANETTI à l'heure Internationnale
publié dans VAR MATIN mardi 27 novembre 2012 : Ecocitoyen; j'agis à JANETTI
publié dans VAR MATIN
mardi i 20 novembre 2012 :
Projet COMENIUS au Lycée Maurice Janetti
publié dans VAR MATIN jeudi 22 novembre 2012 : Conférence sur les Nanosciences au lycée Janetti
publié dans VAR MATIN vendredi 20 octobre 2012 : Fête de la science, immersion au lycée JANETTI
publié dans VAR MATIN septembre 2012 : Osez L'Architecture au Lycée Maurice JANETTI
publié dans VAR MATIN
Jeudi 6 septembre 2012 :
Visite de Madame Le Recteur
lien vers l'article de l'académie de Nice ici
publié dans VAR MATIN Mardi 4 septembre 2012 : Préparation de rentrée pour l'équipe de JANETTI
pour ZOOMER et lire l'article cliquez dessus Semaine de l'industrie
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publié dans VAR MATIN vendredi 30 mars 2012 : le lycée Maurice Janetti récompensé
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publié dans VAR MATIN mercredi 28 mars 2012 : les lycéens du lycée Maurice Janetti à l'honneur
publié dans VAR MATIN dimanche 11 février 2012 : le lycée Maurice janetti ouvre ses portes
publié dans VAR MATIN Vendredi 20 janvier 2012 : Liaisons inter-cycles lycée / collégiens de Matisse
VAR MATIN Publié le mercredi 18 janvier 2012 : Rencontre avec un écrivain
Saint-Maximin : les lycéens de Maurice-Janetti ont rencontré l'écrivain René Frégni
La salle du CDI du lycée Maurice-Janetti était animée comme rarement. C'est là que MmeReculet et plusieurs enseignants, professeurs de français, ont proposé aux élèves de dix classes de seconde, première et BTS, de rencontrer l'écrivain René Frégni.
En amont, les élèves avaient lu, avec leurs professeurs respectifs, un ou plusieurs ouvrages du romancier. René Frégni est né à Marseille. Il est l'auteur de récits autobiographiques, de romans policiers et d'ouvrages pour la jeunesse, diffusés par les plus grands éditeurs nationaux. Son dernier titre, « La Fiancée des corbeaux », autobiographique, a été publié chez Gallimard, en février 2011.
Habitué des conférences avec les scolaires, il participe, en outre, à des ateliers de lecture et d'écriture dans les prisons et les établissements hospitaliers. Il a évoqué, devant les lycéens, dans un dialogue riche et amical, son parcours d'écrivain, sa passion pour la littérature. Et a répondu aux nombreuses questions des élèves, sur la création romanesque, l'invention des personnages et sa relation aux lecteurs. La rencontre s'est achevée, autour des demandes de dédicaces empressées du jeune public, avide de littérature « live ».

Éric Lavaysse, du collectif cantines bio, dans la file, a pris son plateau-repas bio au restaurant scolaire du lycée Janetti.
Grande première au menu du restaurant scolaire du lycée Janetti de Saint-Maximin où un repas entièrement bio a été servi dernièrement aux 1 250 lycéens de Janetti et collégiens du collège Lei Garrus (en travaux actuellement). Stéphane Demaria responsable de projet « Restauration collective bio » pour l'association Agribiovar, et initiateur, était présent, dans la salle de restaurant. « Cette conception des menus s'inscrivant dans une démarche pédagogique et s'appuyant sur un échange constructif, je suis sur le terrain afin de sensibiliser les jeunes à ce projet et de répondre à leurs interrogations sur le manger bio ». Une première par le nombre de repas préparés, nous dit le chef cuisinier Gilbert Guiol.
Deux euros de plus par repas
« Le menu a été conçu uniquement avec des produits biologiques, du début à la fin. C'est plus de travail, mais mon équipe et moi-même tenions à relever ce challenge. Le prix de revient par repas est aussi un peu plus important, poursuit Sylvie Massé, gestionnaire du lycée, 2 euros environ de plus, (non répercuté pour l'élève). » « C'est pourquoi, reprend Stéphane Demaria, nous allons poursuivre cette démarche, mais afin de maîtriser les coûts et bien connaître les caractéristiques du service restauration pour cerner ses capacités et ses besoins. Nous allons introduire dans les repas une composante bio et non les concevoir entièrement bio afin d'accompagner et valoriser ses produits en sachant que le but final restera de parvenir au tout bio. »
Le bio « scolaire » a le vent en poupe
Stéphane Demaria a également répondu favorablement à la demande du Collectif cantines bio du canton qui veut initier également une démarche bio dans les cantines de ses communes, et profiter de son expérience. Éric Lavaysse de Tourves, porte-parole du collectif, Christiane Brochier de Saint-Zacharie, Tina Hibon et Brigitte Pierrevelcin de Rougiers et Pénélope Bourcart de Camps-la-Source se sont retrouvés, après avoir pris le repas avec les élèves, dans une salle du lycée, mis à leur disposition. Stéphane Demaria a rappelé qu'Agribiovar, s'investit depuis 2002 dans l'intégration dans les cantines de lycée de la composante bio. L'arrivée en 2005 du financement par le conseil régional du programme « Produire et manger bio en Paca » a boosté la démarche et ce sont désormais 180 lycées qui sont parties prenantes dans le processus. « Pour pouvoir réussir l'introduction de produits bio en restauration collective, conclut-il, il faut que vous associiez tous les acteurs concernés (parents d'élèves, gestionnaires, cuisiniers, élus, groupements d'agriculteurs bio, élèves) afin que le projet soit vécu de manière collective et pluridisciplinaire, pour que chacun se l'approprie. » Se renseigner sur la filière bio locale, évaluer les capacités et besoins des cantines. Connaître les produits bio afin de planifier une introduction régulière d'ingrédients ou de repas bio qui permettra de maîtriser les coûts. Voilà quelques orientations et étapes à ne pas « brûler » pour le collectif.

Les assauts se pratiquent dans un périmètre de 9 mètres et durent deux fois une minute et trente secondes.
Visages masqués, emmitouflés dans des kimonos matelassés, les concurrents avancent selon une étrange chorégraphie. Gracieuse, « aérienne » disent même certains, aléatoire entrelacs de pas chassés, sauts, et autres lancements de jambes. À la croisée des chemins du sport et de l'art, les cannistes des régions Paca, Languedoc-Rousillon et Rhône-Alpes, se sont rencontrés samedi au gymnase du lycée Maurice-Janetti. En toute convivialité.
C'est d'ailleurs l'un des grands atouts de cette discipline souvent méconnue. « C'est à mon sens le seul sport de combat où on retrouve cette convivialité », confie Florian Adami, 30 ans, champion d'Europe 2010.
Tous les âges
En lice, pour la rencontre maximinoise (1), vingt-six tireurs, de tous âges, de tous niveaux.
« Pour les plus petits il s'agit davantage d'une initiation, de la découverte, indique Aurélie Michel, responsable de la section canne de combat au club de boxe française de Saint-Maximin. Cette discipline développe leur motricité, leur esprit de compétition, et est très axée sur le respect de l'adversaire. »
Un sport très technique
Armés de leur tige, les tireurs pénètrent deux par deux dans l'aire de combat, un cercle de neuf mètres de diamètre. Et là, quand il y a du niveau, ça va très vite ! Les assauts durent deux fois une minute et trente secondes de coups brisés, enlevés, de fente, d'esquives ou de parades. « Le plus dur c'est le côté technique. Cela doit devenir un réflexe. Pour chaque touche il y a un nombre important de critères de validité », explique Florian Adami.
La plupart du temps affiliée à la boxe française, cette discipline, qui remonte pourtant au XIXe siècle, compte encore relativement peu d'adeptes. Sur la commune, la section a ouvert il y a trois ans et est en constante progression. Sur 50 adhérents entre six et huit sont des cannistes.
1. La compétition était organisée par le comité régional et le club de boxe française de Saint-Maximin.

Les collégiens ont visité les laboratoires et ont pu se servir du matériel mis à disposition.
Heures sup' pour les élèves de l'imposant lycée Maurice-Janetti. Samedi, de 9 à 13 heures, l'établissement a organisé sa journée portes ouvertes.
« Habituellement cela se déroule en semaine et ce sont les collèges et non les parents qui amènent leurs élèves. Nous allons voir ce que donne cette nouvelle formule et espérons entre 300 et 500 visiteurs », indique Pierre-Yves Labouz, le proviseur.
Toute la matinée les futurs lycéens et leurs parents ont pu accéder aussi bien aux salles de cours qu'au réfectoire, à l'internat ou aux ateliers des filières professionnelles.
S'entraîner sur des cas concrets
Ouvert en 2005, Maurice-Janetti accueille environ 1 300 élèves en filières générales, technologiques et professionnelles.
Ces dernières bénéficient d'ailleurs d'un équipement conséquent. Sur place pour les démonstrations, des lycéens en « bac pro » électrotechnique, maintenance des équipements industriels ou des systèmes énergétiques. « Le lycée n'est pas très attractif vu de l'extérieur, mais à l'intérieur, on arrive à faire quelque chose de bien. Les élèves ont la possibilité de travailler, en grande partie, sur des cas concrets », explique Laurent Mazoyer, professeur d'électrotechnique.
À disposition, en effet, pompes en tous genres, systèmes électriques, reproduction de dispositifs mécaniques pour s'entraîner. « Il y a une bonne ambiance. Vu qu'on y passe la journée, c'est mieux », confirme un élève.
Donner envie aux élèves
Pendant ce temps, au laboratoire de sciences de la vie et de la terre (SVT), situé dans une autre aile du bâtiment, « on donne un aperçu de ce que les élèves pourront faire ici », indique un enseignant. Épiderme de poireaux observé au microscope, étude de la lignée humaine, mesures grâce aux outils informatiques... « Il s'agit de sciences expérimentales. »
« Ce que nous voyons est rassurant pour l'avenir. Ils sont très bien équipés et les enseignements proposés correspondent à la réalité », se réjouit Anne-Marie Leroy, maman de Yann, 15 ans.
La journée portes ouvertes est aussi un moyen de démystifier cette immense et bâtisse de béton. « De l'extérieur ça ne donne pas envie, on dirait une prison ! Mais l'intérieur est beaucoup mieux. Les profs ont l'air sympa », constate Lucy Lokar qui entrera l'an prochain en 2nde, ici même.